Justement, il me semble qu'une recherche de pouvoir du clergé, de la noblesse, de la bourgeoisie ou de la royauté donne toujours le même résultat, l'effondrement des valeurs. Quand elles sont dans une course à l'influence et non une entente sécuritaire soucieuse du sort du peuple.
https://benedictekibler.wordpress.com/2012/06/18/les-vraies-causes-de-la-revolution-de-1789/Le pré-féodalisme celte, utilisant le peuple à des fins commerciales, s'est trompé de route et a fracturé le rapport entre le peuple et ses représentants. Le renforcement d'une économie a avant tout le but de fortifier la condition générale. L'arbitrage de cette condition est assuré par les sacerdotes, quand ils ne sont pas corrompus à leur tour par l'abstraction de leurs critères de sélection.
Quoi de plus facile de choisir ses juges dans son camp, pour s'assurer l'obéissance des foules. Quoi de plus simple qu'être le représentant divin ad vitam aeternam ?
"Plus j'ai de pouvoir, plus je milite pour la stabilité ! Je ne crains que mon égal car je n'ai pas de compte à rendre aux miens !"
Mais le peuple, manipulé par le bourgeois, rappela cette faute.
Mais de nos jours, les représentants du peuple ne sont plus décideurs, à partir du moment ou ils ne deviennent que des pions pour l'empire monétaire. Et le peuple est corrompu au fonctionnement financier. Il ne "pense plus".
C'est donc l'appât du gain que je critique, quand il ne sert qu'à thésauriser. Admettez alors que ceci est l'ennemi principal, qui s'insinua depuis fort longtemps et qui prend des proportions colossales. Cela démarra quand la première monnaie fut frappée, créant ainsi une pièce de métal non consacrée aux dieux et aux morts. Et c'est Rome qui nous l'offrit avant sa conquête, corrompant ainsi nos cœurs, tout en agitant un modèle de vertu et de démocratie bourgeoise.
Comprenez bien que je ne milite pour aucun modèle sociétaire connu, mais pour une répartition honnête des droits et obligations.
Il y a pour moi dans la première Celtique (celle-là même qu'on retrouvait dans les régions reculées) plus d'intérêt que dans cette époque pré-gallo-romaine.