Le fait de couper la tête de son adversaire tué en combat singulier, reviens à s’approprier sa force, son énergie, son prestige mais aussi à ne pas le retrouver le lendemain sur le champ de bataille.
Pour la tête de cheval, en Gaule nous connaissons un rite de protection des sanctuaires, avec le dépôt de têtes de bœufs, empilées les unes sur les autres, dans le fossé intérieure, de part et d’autre du porche de celui-ci.
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